Poseur d’art et peintre en bon niements quand le pinceau s’y prête vous voilà exposé –paradoxe- sur la cime de nos salves épicuriennes toi le maître à chanter, nous tes body-chiennes
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Extirpés de tes peaux rebelles les charbons de l’icône, ardents et obscurs comme des clés de vous sont fissures extrêmes hissant dans nos nuits des désirs explosés en rageuses et suaves évanescences.
Les courbes du bois qui ne te protègent pas portent nos cordes sensibles à tes côtés vibrantes. Guitarra cuerpo de todos los hermanas, robe d’amour posée comme un carcan à horizon de nos fragilités tissées au fil de tes voix .
Clic posant en un tac un tracé éternel déshabillé de l'instant de gloire, vous êtes devenu trace, vibration, tension, Or rangé des fanges qui nous guettent.
Les sens de toi coulés à jamais dans l’esquisse de toi.
Ma pensée féconde à flots sur cet original La source ainsi révélée suffoque de senteurs écorchées Vives et tendres – l’art s’y prête- le jeu de rétine est si vif à l’âme gorgée des substances de l’iris . Le cœur du Je bat en un état de grâce, oublie l’abîme Ne se repentit pas et ne te repeindra pas. Tu n’es plus un rock tu es devenue pierre sculptée, rimes ,rythmes ,pigments Lavis d’enragée.