A l’ombre d’un géant, infiniment séduisant
Jim Morrison, outre Marylin, James Dean, ou Elvis, qui de plus grand ?
Jim Morrison, géant d’un autre temps, symbolique et troublant
Jim Morrison que Julien va revisiter sur chanson des plus mythiques
Jim Morrison qui n’aimait même pas ce titre « Light my fire », véridique
Julien qui veut ourler l’œuvre, la déstructurer, et la réorner de sa dorure
Julien qui n’est pas là pour le décor, on déteste ou on adore, morsure !
Julien va modeler, hurler, confirmer son talent, prestation stylistique
Julien va aussi ignorer l’ancêtre, va attiser les passions, ondes fatidiques
Prince Julien, voix d’outre tombe, mi-Vlad Dracul, mi-borate, acrobate
Prince Julien, charme puissant au confluent du slave et du croate
Prince Julien, imposant et dégoulinant de culot et de classe, chimérique !
Prince Julien, maître des destins, voleur d’âmes, christique et charismatique
Doré, le magicien, le temps suspendu, les cœurs perdus et confus
Doré, l’illusionniste, le pêcheur en eaux troubles, charmes pourfendus
Doré, l’ensorceleur, violeur impénitent de nos esprits, caustique
Doré, l’enchanteur, d’une voix, l’autre, d’un homme, l’autre, cyclique !
Merci l’artiste d’oser, d’inventer, de recréer, d’être là, à nos rêves, moments dorés !
Et, Julien, de s'amuser de l'état catastrophique où sa prestation vient encore de nous conduire